Philippe Moati intervenait sur France Info dans le cadre du projet de loi sur la fast fashion

Selon le premier baromètre de l’Ademe sur les politiques de sobriété, une large majorité des personnes interrogées estime faire sa part pour limiter la surconsommation. Mais attend surtout des mesures collectives des pouvoirs publics et des entreprises.

La holding de BYmyCAR, qui veut diversifier ses activités de distributeur, a annoncé le lancement d’une plateforme de services de mobilités. Pour son CEO, Carlos Gomes, Cosmobilis doit se préparer aux nouveaux métiers du secteur, mais il reste convaincu que l’automobile demeurera au cœur de ces usages.

En France, faut-il interdire la publicité ou imposer des malus à la « fast fashion », cette mode jetable qui produit des articles à très bas coût et à un rythme effréné. Jeudi 7 mars, les députés ont examiné en commission une proposition de loi visant à réguler les marques. Quelles sont les enseignes visées ? Est-ce la bonne méthode ?

L’Agence Bio a délivré les résultats de son dernier baromètre sur la perception des aliments bio en France. Verdict : pour la première fois, l’intérêt des consommateurs baisse sur les préoccupations santé ou environnementales.

L’Agence Bio a dévoilé son baromètre annuel de perception et de consommation, lors de la 60e édition du Salon International de l’Agriculture. Menée avec l’ObSoCo, cette édition montre des Français plus soucieux de plaisir que préoccupés par leur santé ou par l’environnement.

Le dernier baromètre de la perception et de consommation des produits biologiques en France montre un basculement des préoccupations de la santé et l’environnement vers le plaisir.

Les besoins en logement en France, très importants dans certaines zones géographiques attractives, conjugués à la loi ZAN qui prévoit un objectif « zéro artificialisation nette » des espaces naturels, agricoles et forestiers à l’horizon de 2050, amènent les villes à se densifier.

Victime des difficultés de l’ancien groupe Casino, l’enseigne « premium » de centre-ville, présente dans l’alimentaire, le textile et la beauté, aura besoin d’une rénovation complète.

Ce n’est pas ce que ressentent les Français. Une « réaction classique », selon Philippe Moati cofondateur de la société d’études et de conseils en stratégie ObSoCo. « Lorsqu’on les interroge sur le sujet, les Français ont tendance à se montrer pessimistes », note-t-il.