Atlantico : La FIB, principale société de l’homme d’affaires Michel Ohayon, est placée en redressement judiciaire, après Go Sport et Camaïeu. Comment expliquer ces chutes en cascade ?
Philippe Moati : Cela illustre les transformations du commerce et de la consommation. Avec ici un secteur d’autant plus vulnérable aux mutations que la demande y est saturée. Le besoin de se couvrir et de se protéger est satisfait depuis bien longtemps.