L’avenir que nous imaginons est dystopique, comme dans ces séries que nous aimons tant, Black Mirror, la Servante écarlate ou Years and Years. Plus d’un Français sur deux (53%) est convaincu que que la vie de ses enfants et petits-enfants sera « pire » que la sienne. Moins d’un sur dix table sur l’idée qu’elle sera meilleure.
C’est ce qui ressort des premiers résultats publiés par l’Observatoire des perspectives utopiques. Il est piloté par Philippe Moati, un économiste spécialiste de la consommation, ancien du Credoc, prof à l’Université Paris-Diderot et fondateur de la société d’études L’ObSoCo.