Pour les anglophones, c’est le DIY (Do It Yourself), le « faire soi-même » en français. Cela désigne toutes les activités visant à réparer ou créer soi-même des objets artistiques, technologiques ou bien de la vie courante. Le concept, qui n’est rien d’autre finalement que la réappropriation moderne des pratiques ancestrales de nos grands-parents, recouvre le bricolage, la décoration, la couture, l’informatique, mais aussi la cuisine… Il prospère aujourd’hui sur le terreau de la cerise économique qui contraint les familles à maîtriser chaque jour davantage leurs dépenses.