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Bonnes résolutions : ça dérape…

Dans le chapitre des bonnes résolutions au travail, celle capitale de mieux gérer son temps…Sauf que ça ne fonctionne pas vraiment. « Vous voilà d’ailleurs en train de lire cette newsletter entre deux visios, tout en gardant un œil sur votre messagerie, tandis qu’une notification WhatsApp perso vient de faire vibrer votre téléphone… » prévient l’ObSoCo dans sa nouvelle plongée dans nos modes de vie. Un actif sur quatre souffre de fatigue informationnelle au travail (26% très précisément).

Peut-être souffrez-vous, vous aussi, de ce mal invisible

Retour de vacances, boîte mail qui déborde, notifications en cascade, agenda déjà surchargé de réunions… La parenthèse des fêtes semble déjà bien loin ! Et alors que vous tentez peut-être de tenir votre bonne résolution de « mieux gérer votre temps en 2025 », vous sentez déjà que ça dérape. Vous voilà d’ailleurs en train de lire cette newsletter entre deux visios, tout en gardant un œil sur votre messagerie, tandis qu’une notification WhatsApp perso vient de faire vibrer votre téléphone…

Ce scénario vous parle ? Sachez que vous n’êtes pas seul ! Mais attention ! Car cette situation peut se muer en une pénibilité lourde de conséquences…

La fatigue informationnelle : une nouvelle forme de pénibilité au travail

Avec le développement des technologies numériques, une « fatigue informationnelle » émerge chez les actifs qui font face à un trop-plein d’informations. Quelles en sont les conséquences sur leur façon de vivre leur travail ? S’appuyant sur la deuxième vague de l’enquête sur la fatigue informationnelle, Sébastien Boulonne, Guénaëlle Gault et David Médioni montrent qu’il est urgent de repenser collectivement nos méthodes de travail et notre définition même du progrès et du bien-être professionnel.

La fatigue informationnelle au travail touche un quart des actifs

De même que l’on s’inquiète de l’impact des écrans sur les enfants, ou celui des réseaux sociaux sur les ados, il est temps de se préoccuper des conséquences de la fatigue informationnelle des actifs sur leur qualité de vie au travail. Chose faite avec l’étude publiée en décembre par l’Observatoire société et consommation (ObSoCo) pour la Fondation Jean-Jaurès et Arte.

« Demain n’est pas un autre aujourd’hui, il est une aventure »

…disait le philosophe Gaston Berger, fondateur de la prospective.

Une incitation à penser l’avenir, non comme un simple prolongement du présent, mais comme un champ des possibles à construire.
Une invite qui résonne particulièrement en ce début 2025, alors que la toute première vague de notre Baromètre Intentions et pouvoir d’achat apparait singulièrement marquée par le paradoxe et l’incertitude.

“Exode informationnel” : comment raviver l’intérêt des Français pour l’actualité ?

On fait ses valises et on quitte les médias. L’exode informationnel gagne du terrain : selon une étude de l’ObSoCo pour la Fondation Jean Jaurès et Arte, les Français se détournent des médias. Guénaëlle Gault, co-rapporteure de l’étude, observe une évolution marquante : “Entre 2022 et 2024, tous les indicateurs d’engagement dans l’information refluent.”