Une réalité de la mobilité déjà en tension(s)

Suite de notre Coup d’œil hebdo de la semaine dernière sur la façon dont les Français appréhendent leur mobilité. Leur mobilité actuelle, mais également future : qu’imaginent-ils et surtout que désirent-ils à horizon 2050 ? Un exercice de prospective qui part des Français eux-mêmes, réalisé par L’ObSoCo avec La Fabrique de la Cité.

Une série en 4 épisodes pour notre Coup d’œil hebdo. Cette semaine, épisode 2 : Une réalité de la mobilité déjà en tension(s).

Comment les Français souhaitent-ils et imaginent-ils leur(s) mobilité(s) dans le futur ?

De nombreux exercices de prospective déclinent ce que pourrait et devrait être la mobilité en France à l’horizon 2050. La plupart sont des scénarios sous contraintes qui s’appuient sur l’expertise de chercheurs et professionnels et visent la transition écologique de cette ou ces mobilités.

Avec L’ObSoCo, La Fabrique de la cité a souhaité apporter une perspective complémentaire. Il s’est agi de partir des Français, d’appréhender la réalité telle qu’ils la vivent, telle qu’ils l’imaginent mais aussi et surtout telle qu’ils la désirent.

Une série en 4 épisodes pour notre Coup d’œil hebdo. Aujourd’hui, épisode 1 : L’imaginaire de la mobilité en mutation.

Avez-vous la fièvre ?

Objets de culture populaire, les séries télévisées dépassent de plus en plus leur statut de mediums mineurs pour gagner en légitimité : commerciale – boostant les plateformes de streaming, artistique – attirant de grands réalisateurs, démocratique – avec des productions dont la réception transcende souvent les âges ou les milieux sociaux, universitaire enfin, devenant un objet d’étude et de publications académiques croissantes.

Argent, couple et pots de yaourt

Si l’Insee constate une (lente) décrue des inégalités de revenus entre femmes et hommes, il n’en demeure pas moins qu’au global, tous temps de travail confondus les femmes touchent 24,4 % de moins que les hommes. Elles travaillent en effet plus souvent à temps partiel (plus d’une femme sur 4 est en temps partiel pour un peu moins d’un homme sur 10) et dans des métiers moins bien rémunérés que les hommes.

L’amorce du rebond ?

Fin novembre, Bruno Lemaire annonçait que l’inflation était vaincue. L’histoire semble être en train de lui donner raison. L’indice des prix de mars s’établit à 2,3 % et le consensus des économistes porte sur un retour durable autour de la barre symbolique des 2 % au second semestre. De quoi espérer une baisse prochaine des taux de la BCE.

Faites vos prix !

Alors que Décathlon vient tout juste d’annoncer une baisse de prix « définitive » de 351 de ses produits afin de réagir à l’essoufflement des ventes et « casser l’inflation » selon les mots de son Directeur général, quelques réflexions au sujet de la formation des prix et de la manière dont les consommateurs se représentent le « prix juste ».